supported by 6 fans who also own “On The Edge Of The Dead Forest”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
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This band's been one of my favorite acts in modern death metal for a while now, and their debut album got me sold on these guys really quick. honeycombguy
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Swirling guitars, furious drums, vocals that at the same time howl from infinite distance and are right up in your head; everything put into dissonant form with the help of unconventional songwriting. This album is my personal key to the icelanding black metal madness that I've ignored for way too long! Lukas Kaufmann
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La dévastation, sur une seule heure. A Fleur de Peau, une des œuvres les plus massives de Déhà, hymne pour un mal-être qui vous prend aux tripes — deuxième opus, divisé en deux longues parties. Une chose est sûre : inutile de jouer sur une qualité sonore immonde pour faire plus "vrai". Au contraire, la musique y est très claire et d'autant plus redoutable, encore plus sur la seconde partie et son moment atmosphérique qui brise le cœur. Les paroles sont crues, cruelles.
"J'en ai marre putain." Jordan Vauvert